L’approche du « side project » est très séduisante pour entreprendre un projet professionnel sans tout risquer. Je dirais même plus : elle est la plus plus sage et gratifiante des stratégies quand on veut s’aventurer dans le monde de l’entrepreneuriat, mais encore faut-il la prendre au sérieux.

J’en discutais justement avec mon chum ce week-end. Son ami et lui ont un projet de petite entreprise touchant le vélo, et ils ne savent pas par où commencer. Ils en ont parlé à un entrepreneur d’expérience qui, à ma grande surprise, leur a dit de ne pas perdre leur temps avec l’approche du side project.
« Vous devez vous lancer à 120 %! », leur a-t-il conseillé. Mais mon chum ne veut pas quitter son emploi tout neuf et risquer de se péter la gueule à 45 ans, et son ami a un condo à payer.
Ils n’ont rien à perdre avec un side project. Par contre, ce n’est pas un hobby! Ils devront se fixer des objectifs, même petits, afin de mesurer l’évolution de leur future entreprise et développer leur marché. Et il leur faudra aussi de l’inspiration, pour voir comment d’autres personnes mènent ce type de projet et pour apprivoiser les outils numériques de promotion et de monétisation.
C’est pour des créateurs comme eux que j’ai décidé de lancer mon infolettre qui propose une dose hebdomadaire d’inspiration. Je présente des projets qui me semblent innovateurs et des plateformes qui leur permettent de rencontrer leur public.
Cette proposition d’infolettre vous parle? Eh bien, c’est par ici que vous pourrez vous abonner.
N’hésitez pas à me faire part de vos projets!