Avez-vous entendu parler de Fiverr, LA plateforme internationale de freelancing qui participe à la croissance de la gig economy dans le secteur numérique? Je m’y intéresse depuis quelques mois, après avoir vu des vidéos suggérées par mon cher YouTube (sûrement à cause de mes recherches sur les side projects et side hustles…). 

Je n’ai pas été déçue.

Tellement pas déçue que j’ai pensé m’ouvrir un compte. Je voyais ça comme une expérience, une façon de tester la valeur de mes services numériques et, qui sait, finir par avoir un p’tit revenu d’appoint. Mais avant, j’ai voulu en apprendre plus sur le fonctionnement de la plateforme.

Je me suis donc entretenue avec deux personnes qui offrent leurs services sur Fiverr. J’ai appris des choses intéressantes, voire choquantes quant au contrôle de la plateforme sur ses travailleurs. 

En gros, les plateformes collaboratives, si ça te vend de la liberté, c’est parce que ton temps est le produit. Je vous invite à lire mon article sur Quatre95.

Parlant de Quatre95, une plateforme d’Urbania qui « bouscule les idées préconçues et l’ordre établi sur les finances personnelles, la consommation, le travail, l’entrepreneuriat et la culture de l’argent », j’y ai aussi publié un article sur l’équilibre travail-vie personnelle- side project. 

En quelques mots : « L’équilibre optimal exige que l’on soit honnête avec soi-même et… capable de se foutre de ce que les autres pensent. »

Dans les prochaines semaines, je vais explorer les side projects socialement engagés. C’est-à-dire ceux qu’on mènent le soir pour changer le monde, ou une partie, en mettant à la disposition de la communauté son expertise, ses connaissances ou son réseau.